El beso más pequeño

Para aprenden a ayudar a los demas antes es necesario salvarse a uno mismo

Jouer au volley-ball avec un oursin.

Même quand tu es d’humeur à ne pas avoir l’humour de reconnaître que te parler, c’est comme jouer au volley-ball avec un oursin, tu es encore 67% désirable.

La princesse en pâte à crêpes.

Quand je danse, c’est comme si je mettais ton rire au micro-ondes. Il est prêt en quelques secondes. Je suis plus raide qu’un très vieux Pinocchio et tu es plus souple qu’une princesse en pâte à crêpes.

Ailes-pages.

Tous les livres de la bibliothèque se sont envolés. Ils se sont mis à battre leurs ailes-pages et leurs mots se sont imprimés dans les nuages. A chaque fois que l’on s’embrasse, ça recommence.

La réincarnation de Betty Boop.

Je pense prouver scientifiquement que tu es la réincarnation en chair et en os de Betty Boop. Tes avant-bras ont la même gentillesse arrondie. Dodus-dynamiques.
Tes doigts sont les pinces d’un crabe très spécial qui aurait été programmé uniquement pour caresser.
Tes yeux sont trop grands, on voit ton cœur à travers quand tu ris.

Le prix Nobe de l’amour.

Pour le dressage d’un écureuil sauvage sans le couper de son milieu surnaturel.
Pour les multicoiffures que tu cuisines sur le haut de ton crâne façon pièce montée et toute la force amusante qui palpite juste en dessous. Pour 217 autres raisons exactement folles et parce que tu es le plus joli petit poème de cul vivant, il est grand temps de te décerner le prix Nobel de l’amour.

L’incendie de flocons.

Penser à toi, c’est comme jeter des flocons dans un feu. Il est une certaine forme de bonheur qui me fait peur à peu près pour toujours.

(…) La lune te regarde à travers la fenêtre. Elle va peindre ses reflets sur ta peau. Du bout de mes doigts, je m’efforcerai d’être un tout petit peu plus que son pinceau.

La «voir» réagir, s’enthousiasmer, rire, s’énerver, c’était l’aventure extraordinaire.

Quelques secondes de son rire me faisaient l’effet d’une cure de vitamine C.