Alors, ils s’embrassèrent et ce fut un baiser impossible à arrêter. L’un comme l’autre le savaient, lorsqu’il prendrait fin, ils se sépareraient pour de bon. Ils s’entredévoraient délicatement. Le baiser prit fin. Le temps semblait s’être arrêté. Mais inéluctablement, il avançait. Gaspard ne parvenait toujours pas à s’y résoudre, ses yeux plantés dans ceux de sa sirène. |