Mon cœur est lourd d’aveux que je ne me sens capable de faire.
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Mon cœur est lourd d’aveux que je ne me sens capable de faire.
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Je veux savoir, mais j’ai peur que savoir me tue.
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Pour finir, soyez certain d’une chose: un cœur bat à tout rompre derrière le prénom qui signe ce courrier.
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(…) j’ai éprouvé ce petit sursaut du cœur en voyant votre nom surgir entre deux mails sans intérêt.
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Et n’oublie pas qu’il y a une vie en dehors des livres, hein? Une vraie vie, pleine de vrais gens.
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Je m’appréhende parfois moi-même comme un personnage de fiction, cela m’aide à m’assumer, ça me rend plus intéressant et plus supportable que je ne le suis en vrai.
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Ceci dit, la littérature n’est que mensonge, enfin invention, ce qui est la même chose, l’invention étant un mensonge avoué par avance, non ?
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(...) continuez à vous inventer, (...), je vous pardonne même de ne pas exister!
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(…) en vous écrivant, à l’instant, je fais comme si tout allait bien, de la même façon que les couples qui se séparent jouent, le temps d’un répit, sur l’oreiller ou non, la comédie de leur amour fini. Leur été indien. Encore une fois. Une dernière fois. Ils y ajoutent juste leurs larmes.
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(…) quoi qu’il arrive désormais, il ne faudra pas renier ces quelques semaines passées à nous écrire. J’y ai trouvé un grand plaisir, et même plus que ça (…): quelque chose qui ressemble au sentiment amoureux. Vous savez: votre vie va son train, vous êtes dans une somnolence du corps et du cœur, et puis soudain quelqu’un apparaît et vous apporte la révolution. Vous n’êtes plus qu’impatience: je vais la revoir, elle va m’appeler, elle va m’écrire. Ça occupe tout votre esprit. Et comme l’autre vous aime en retour, vous êtes dans cette fièvre, dans cette fête.
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Cual es el nombre completo de Dumbeldore?