Je vais donc accepter simplement ce bonheur de vous voir ressurgir du néant où je vous croyais disparu à jamais, et tenter de retisser avec vous le lien fragile que nous appelions amitié.
|
Je vais donc accepter simplement ce bonheur de vous voir ressurgir du néant où je vous croyais disparu à jamais, et tenter de retisser avec vous le lien fragile que nous appelions amitié.
|
Aussi, quand j’ai vu votre nom dans ma boîte, tout à l’heure, mon cœur a bondi. Merci d’avoir fait le premier pas vers nos retrouvailles, car de mon côté, plus les jours passaient et moins j’osais. Tenez, voici une raison de plus de trouver que la vie est belle : retrouver quelque chose qu’on croyait perdu.
|
Je vous oubliais l’espace d’une heure ou deux, puis mes pensées revenaient mécaniquement, automatiquement, irrésistiblement vers vous (…)
|
Il a souri avant de m’expliquer qu’une femme seule qui regarde la mer a forcément un chagrin d’amour. Je n’ai pas protesté. Voyez comme c’est lamentable : je suis un cliché ambulant.
|
Je dispose également de longues journées silencieuses qui ne réclament que votre présence.
|
Votre voix me manque. Oui je sais bien que je ne l’ai jamais entendue, votre voix, pas plus que je n’ai vu votre visage. Quand je dis votre voix, je veux dire votre façon de me parler. Et aussi votre façon de me faire parler, de me donner envie de vous parler. Voilà : notre complicité me manque. Nous me manquons.
|
Deux semaines de silence. Mais le dernier courrier est de moi, j’ai vérifié. (…) C’est à vous de m’écrire ! C’est votre tour.
|
Et qui sait ? Peut-être le miracle aura-t-il lieu : je vous croirai encore.
|
Je me dis aussi à chaque fois qu’on ne pensera qu’à elle, que son absence nous enveloppera comme nous enveloppait sa présence, que nous ferons semblant d’être joyeux, et que ce sera donc forcément sinistre. Mais ça ne l’est pas. On pense à elle, bien sûr, mais on l’oublie aussi. La vie reprend ses droits, regarde après les enterrements.
|
Vous savez à quoi je rêve, en silence, depuis que nous avons cessé de nous écrire? Je rêve de tout recommencer, mais dans mon nouveau scénario, (…) une correspondance se tisse délicatement, un échange sincère, délesté du poids des mystères, des non-dits, des secrets. Dans mon rêve, nous sommes nous-mêmes. La fiction reste cantonnée au domaine des livres, elle ne déborde pas sur le réel, elle ne nous embrouille pas, elle ne nous joue aucun mauvais tour.
|
Cual es el nombre completo de Dumbeldore?