C'est dans les mots que nous pensons, car le mot donne à la pensée son existence la plus haute et la plus vrai. (Hegel) |
C'est dans les mots que nous pensons, car le mot donne à la pensée son existence la plus haute et la plus vrai. (Hegel) |
C'est bizarre la vie. Tout se passe parfois comme si on infligeait un châtiment pour se pounir d'une faute qu'on a soi-même du mal à identifier.
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Chacun de nous a dans le cœur une chambre royale; je l'ai murée, mais elle n'est pas détruite. (Gustave Flaubert) |
Tu parles ! Il n'y avait jamais eu de soleil, à peine quelques éclaircies, intenses mais toujours fugitives.
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Certains disent qu'on reconnaît le grand amour lorsqu'on s'aperçoit que le seul être au monde qui pourrait vous consoler est justement celui qui vous a fait mal.
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Car lorsque vous n'avez pas confiance en vous, finir par dire «oui» à quelqu'un peut signifier lui dire encore plus non que non.
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Elle attendait l'appel ou le signe d'un homme. Un homme qui l'avait aimée, mais auquel elle n'avait jamais dit «je t'aime». Un homme qu'elle avait trompé, déçu, blessé. Juste pour voir s'il continuerait à l'aimer quand même. Juste pour voir s'il était capable d'endurer le pire. Parce qu'elle ne savait pas aimer autrement. Un jour peut-être si l'homme était toujours là, s'il avait eu la patience et l'obstination de l'attendre, arriverait-elle à lui ouvrir son cœur et à lui dire les mots qui changeraient tout.
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À présente, ils étaient prêts tous les deux, non pas à recommencer à zéro, mais à poursuivre un amour qui avait survécu en hibernation pendant presque quinze ans.
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Quand l'orchestre s'arrêtera, je danserai encore... Quand les avions ne voleront plus, je volerai tout seul... Quand le temps s'arrêtera, je t'aimerai encore... Je ne sais pas où, je ne sais pas comment... mais je t'aimerai encore. (Le temps qui reste. Serge Reggiani. Jean-Loup Dabadie) |
J'aurais dû avoir deux coeurs, le premier insensible, le second constamment amoureux, j'aurais confié ce dernier à celles pour qui il bat et avec l'autre j'aurais vécu heureux. (Amin Maalouf) |
¿Con qué frase empieza esta novela?