Mais tes yeux, eux, sont fort jolis: sans blague, ils donnent le tournis!
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Mais tes yeux, eux, sont fort jolis: sans blague, ils donnent le tournis!
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Une plage blanche Pour réécrire ma vie : Une page vierge. |
Reste-t-il quelques bribes d’âme, au fond de ces yeux-là ?
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Ses vieux films, que j’ai dénigrés trop facilement, sont comme les contes de maman. Ce sont des clés précieuses pour essayer de comprendre le chaos de ce monde.
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/Monstre/ : décidément, ce mot me gêne. C’est un moyen trop facile de désigner l’inconnu, quand on n’a pas les moyens de le comprendre…
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(…) quelque chose en lui qui me touche : son regard. Ses iris verts luisent à l’éclat du feu, tandis que son corps ondule dans le contrejour des flammes. Les choses que j’y lis n’ont rien de mécanique. C’est un mélange de défi et de pudeur. De bravoure et de peur. De désir et de respect. Un cocktail complexe et contradictoire, qu’aucune machine ne peut imiter : un sentiment humain. |
Je ne veux plus être ce robot exécutant un programme écrit par d’autres. Ce que je veux, c’est écouter mon cœur et être moi-même, simplement, absolument, naturellement. Juste moi-même.
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C’est à la fois une révélation et une oraison. Pourtant, il a parlé sans trembler, et à présent un pâle sourire illumine son visage, comme le premier rayon de soleil après une violente tempête.
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Je lis dans ses grands yeux noirs des lendemains, de joies et de défis, de victoires et de défaites, de combats gagnés et perdus, mais toujours livrés à deux.
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Que feras-tu donc Quand tu seras condamnée À la liberté ? |
El retrato de Dorian Gray