Cogito de Victor Dixen
(…) quelque chose en lui qui me touche : son regard. Ses iris verts luisent à l’éclat du feu, tandis que son corps ondule dans le contrejour des flammes. Les choses que j’y lis n’ont rien de mécanique. C’est un mélange de défi et de pudeur. De bravoure et de peur. De désir et de respect. Un cocktail complexe et contradictoire, qu’aucune machine ne peut imiter : un sentiment humain. |