Una rosa sola de Muriel Barbery
(…) et fut inondée d’une tristesse à laquelle se mêlaient des éclats d’un bonheur pur.
|
Una rosa sola de Muriel Barbery
(…) et fut inondée d’une tristesse à laquelle se mêlaient des éclats d’un bonheur pur.
|
Una rosa sola de Muriel Barbery
Si on n’est pas prêt à souffrir, dit-elle, on n’est pas prêt à vivre.
|
Una rosa sola de Muriel Barbery
Le poète la regardait, elle lut dans ses yeux l’ironie et, avec étonnement, une bienveillance infinie.
|
Una rosa sola de Muriel Barbery
Tu prendras le risque de la souffrance, du don, de l’inconnu, de l’amour, de l’échec et de la métamorphose.
|
Una rosa sola de Muriel Barbery
Le plus dur, en réalité, ce n’est pas d’être heureux sans l’autre, continua-t-il, c’est de changer, de ne plus être celui qu’on était avec l’autre.
|
|
Una rosa sola de Muriel Barbery
De quoi le deuil est-il le plus difficile ? De ce qu’on a perdu ou de ce qu’on n’a jamais eu ?
|
Una rosa sola de Muriel Barbery
–La vie finit toujours par nous écraser, dit-elle. À quoi sert d’essayer puisqu’on est en prison ? –Que risquons-nous ? demanda-t-il. Par le seul fait de vivre, tous les risques ont déjà été pris. |
Una rosa sola de Muriel Barbery
La vie n’est peut-être qu’un tableau qu’on contemple derrière un arbre. Elle s’offre à nous en totalité mais nous ne la percevons qu’au travers de perspectives successives. La dépression rend aveugle aux perspectives. Le tout de la vie vous écrase.
|
Una rosa sola de Muriel Barbery
–La vie est transformation. Ces jardins sont la mélancolie transformée en joie, la douleur transmuée en plaisir. Ce que vous regardez ici, c’est l’enfer devenu beauté. –Personne ne vit dans un jardin zen, rétorqua-t-elle |
Una rosa sola de Muriel Barbery
Elle fut traversée d’une ancienne souffrance que venaient baigner des éclats de joie arrachés au néant.
|
Una rosa sola de Muriel Barbery
Le son de la pluie sur le parapluie lui fit du bien, elle rêva un instant de vivre dans une goutte pleine et close, sans ailleurs ni autrefois, sans perspectives ni désir.
|
|
Una rosa sola de Muriel Barbery
Nous sommes des survivants, dit-il, jusqu’à ce que d’autres nous survivent.
|
|
Una rosa sola de Muriel Barbery
Le monde est comme un cerisier qu’on n’a pas regardé pendant trois jours.
|
Una rosa sola de Muriel Barbery
Je croyais qu’il fallait survivre mais il faut peut-être mourir puis renaître.
|
La elegancia del erizo de Muriel Barbery
pero no soy muy valiente que digamos. Me da miedo ir al interior de mí misma y ver qué ocurre allí.
|
|
La elegancia del erizo de Muriel Barbery
Pero lo que se me hace insoportable es la espera, ese hueco en suspenso del todavía no que nos hace tomar conciencia de la inutilidad de las batallas
|
¿Con qué frase empieza esta novela?