Si on n’est pas prêt à souffrir, dit-elle, on n’est pas prêt à vivre.
|
Si on n’est pas prêt à souffrir, dit-elle, on n’est pas prêt à vivre.
|
Le poète la regardait, elle lut dans ses yeux l’ironie et, avec étonnement, une bienveillance infinie.
|
Tu prendras le risque de la souffrance, du don, de l’inconnu, de l’amour, de l’échec et de la métamorphose.
|
Le plus dur, en réalité, ce n’est pas d’être heureux sans l’autre, continua-t-il, c’est de changer, de ne plus être celui qu’on était avec l’autre.
|
Je n’ai pas peur d’échouer, j’ai peur de réussir.
|
De quoi le deuil est-il le plus difficile ? De ce qu’on a perdu ou de ce qu’on n’a jamais eu ?
|
–La vie finit toujours par nous écraser, dit-elle. À quoi sert d’essayer puisqu’on est en prison ? –Que risquons-nous ? demanda-t-il. Par le seul fait de vivre, tous les risques ont déjà été pris. |
La vie n’est peut-être qu’un tableau qu’on contemple derrière un arbre. Elle s’offre à nous en totalité mais nous ne la percevons qu’au travers de perspectives successives. La dépression rend aveugle aux perspectives. Le tout de la vie vous écrase.
|
–La vie est transformation. Ces jardins sont la mélancolie transformée en joie, la douleur transmuée en plaisir. Ce que vous regardez ici, c’est l’enfer devenu beauté. –Personne ne vit dans un jardin zen, rétorqua-t-elle |
Elle fut traversée d’une ancienne souffrance que venaient baigner des éclats de joie arrachés au néant.
|
¿Cuál fue la primera obra escrita en verso en lengua castellana?