Sirius de Stéphane Servant
(…) la beauté ne pouvait se départir de la liberté. Ce que l’on possède finit par perdre tout éclat. Comme si la liberté était l’essence même de la beauté.
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Sirius de Stéphane Servant
(…) la beauté ne pouvait se départir de la liberté. Ce que l’on possède finit par perdre tout éclat. Comme si la liberté était l’essence même de la beauté.
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