Sirius de Stéphane Servant
(…) je t’ai dit que les histories étaient comme un bon bout de pain. Qu’elles pouvaient nous nourrir. Mais il arrive aussi que les mots s’entassent au fond de nous comme des pierres dans un sac. Ils nous entraînent alors vers le fond. Parfois, ça fait du bien de se délivrer de ce poids.
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