Una sirena en París de Mathias Malzieu
Il sentit son cœur se serrer. Son meilleur ennemi semblait de retour. Avec ses lumières aveuglantes et ses picotements dans le ventre. L’amour! Cette joie acide qui réveillait les fantômes en chantant. Loin des amourettes en flammèches qu’on éteint avec les doigts. Le grand feu, celui qu’on allume à la Saint-Jean et qu’il faut traverser en sautant dans la nuit.
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