Aires de Marcus Malte
D’être la source de tes larmes et de ton sourire C’était bien Et de rester et que ça dure Et de soupirer encore L’âme La chair Et d’aimer encore tes soupirs Après tant et tant d’années Pas tant que ça pourtant Au regard du temps Presque infini Presque (Mais notre éternité à nous) |