Les fiancés de l'hiver. La passe-miroir 1 de Christelle Dabos
Les occasions de lui dire la vérité n’avaient pas manqué; non seulement il les avait toutes laissées passer, mais il avait eu l’aplomb de ponctuer leurs rencontres de «je suis en train de m’habituer à vous» et de «votre sort est une réelle préoccupation pour moi». Par sa faute, Ophélie avait vu des sentiments là où il n’y avait jamais eu que de l’ambition. Cet homme-là, c’était le pire de tous. |