Ueno Park de Antoine Dole
D’ordinaire je me tais, je longe les murs, tête baissée. Mais quand je me transforme, tous leurs mots sont dérisoires face à cette vie qui bouillonne en moi. Leurs mensonges contre ma vérité. Ils ne font pas le poids. Mais ce serait mentir de dire qu’ils ne me blessent pas. Mon cœur est un endroit de luttes. (SORA) |