Ueno Park de Antoine Dole
Et si les bruits du dehors n’avaient jamais tout à fait cessé d’exister, ils redevenaient peu à peu concrets, le cerveau cherchant à nouveau des connexions logiques à toutes mes perceptions du dehors. Doucement, le monde alentour reprenait sa place au-delà des quatre murs qui m’avaient abritée tout ce temps. (AYUMI) |