El silencio del mar de Vercors
L’art seul m’empêche de désespérer. (...). Nous le voyons bien que l’homme est décidément une assez sale bête. Heureusement l’art, la pensée désintéressée le rachètent. Et pourtant, depuis ce jour, j’ai perdu la joie de lire. Mais c’est à cause de moi: c’est moi qui ai mauvaise conscience. Devant mes tableaux, devant mes livres, je détourne un peu les yeux. Comme un filou, pas encore endurci, qui ne peut jouir avec un cœur tranquille de ses trésors dérobés. |