Love me tender de Constance Debré
Mère comme statut, comme identité, comme pouvoir on non-pouvoir, comme position, de dominé et de dominant, comme victime et comme bourreau, ça n'existe pas, ça n'existe jamais ces choses-là. Il y a l'amour et c'est tout autre chose. L'amour qui n'a même pas besoin d'amour en retour, l'amour qui ne demande rien, l'amour qui sait ce qu'il est et qui ne doute jamais, l'amour qui sait que la peine n'est rien, qu'elle ne le concerne pas, qu'elle est inopérante, que la violence ne concerne que celui qui l'exerce.
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