Love me tender de Constance Debré
J'ai compris que c'était fini le chagrin. Pas la tristesse de temps en temps bien sûr, mais le chagrin qui bouffe tout, oui. J'ai pensé que j'avais fait le deuil de mon fils. Je me suis dit, C'est ça, j'ai fait le deuil. Je me sentais bien.
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