Et n’oublie pas qu’il y a une vie en dehors des livres, hein? Une vraie vie, pleine de vrais gens.
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Et n’oublie pas qu’il y a une vie en dehors des livres, hein? Une vraie vie, pleine de vrais gens.
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(…) en vous écrivant, à l’instant, je fais comme si tout allait bien, de la même façon que les couples qui se séparent jouent, le temps d’un répit, sur l’oreiller ou non, la comédie de leur amour fini. Leur été indien. Encore une fois. Une dernière fois. Ils y ajoutent juste leurs larmes.
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(…) pour des gens qui n’ont rien à se dire, nous nous écrivons beaucoup.
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Je me dis aussi à chaque fois qu’on ne pensera qu’à elle, que son absence nous enveloppera comme nous enveloppait sa présence, que nous ferons semblant d’être joyeux, et que ce sera donc forcément sinistre. Mais ça ne l’est pas. On pense à elle, bien sûr, mais on l’oublie aussi. La vie reprend ses droits, regarde après les enterrements.
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Elle écrit avec simplicité, sans recherche d’effets, et ça me plaît beaucoup, un peu comme ces femmes qui sont belles et qui ont l’air de ne pas le savoir, tu vois?
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En tout cas, vous avez perdu votre muse, et un gros morceau de votre cœur : je comprends mieux, maintenant, pourquoi l’écriture se dérobe sous votre plume.
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Savez-vous qu’il existe de par le monde quantité d’écrivains dont le seul tort est de n’avoir jamais rien écrit?
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Gregorio Samsa es un ...