Miénteme, te creeré de Anne-Laure Bondoux
(…) je crois que le moment n’est pas venu de nous rencontrer(…) J’ai peur que nous cassions notre beau jouet. J’ai peur que nos voix, nos corps soient trop… présents, trop réels, qu’ils ne correspondent pas à ce que chacun de nous deux aimait dans l’autre. Et qu’il nous soit impossible ensuite de revenir en arrière et de nous retrouver intacts. |